• Face a la puissance incontestable technologique  des Etats Unis, notre reflex reste inlassablement  le même en Europe ,dans le cas ou cette puissance nous est utile nous éprouvons un simple sentiment de justice, dans le cas contraire  une humiliation plus ou moins avéré selon que nous soyons pro ou anti  Américain ,puis suivent les réactions officielles diplomatiques d’usage, qui, dans le cas présent sont accentuées  par une gesticulation bien  orchestré avec une certaine habileté,(en période de vache maigre  il faut sauter sur l’occasion pour démontrer a moindre frais que l’on a des “coronesses”)

     

    Cette situation , qui n’est pas une fatalité, elle ne changera que le jour ou l’Europe décidera de jouer sons rôle de nation, ce qui lui permettra d’égaler ou de dépasser les USA dans l’innovation technologique, ce qui est a sa porté. Il manque aux Européens la prise de conscience de leur capacité réelle, et la volonté politique de franchir les quelques obstacles qui semblent des montagnes aux yeux d’une partie de citoyens inquiets par nature, arguments  futiles et bien maigre rabâchés par les  Eurocentriques,  face aux nombreux avantages que nous perdons chaque jours face aux réalités mondiales.


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  • On ne pourra pas faire l’économie d’une rétrospective honnête des 40 années passées , si l’on veut se donner une chance de définir une bonne fois pour toutes les actions indispensables  a notre avenir et a celui de nos petits enfants 

     Si la mondialisation a été  un phénomène incontournable, elle a été significatif dans le  déclin de nos économies occidentales, les mesures que chaque pays ont pris , ont scellé pour un très long moment le sort de chacun. 

    Le bouleversement inéluctable  de la situation économique de notre pays ne s’est pas ressenti immédiatement, les analyses politiques face a ce phénomène nouveau ont été relégué au deuxième plan, la préoccupation du moment était, il faut le dire, orientés sur la politique intérieure et a la démonstration de la renaissance de l’union de la gauche, les caisses de l’état et le chômage n'étaient pas une préoccupation  après le départ de Giscard Destaing .

    Notre tissus industriel a été le premier a faire face aux changement significatifs de l’économie mondiale tout d’abord par l’ouverture a une concurrence féroces ,et puis agresser sur son marché intérieure  par des mesures idéologiques internes.nos entreprises se sont expatriés.

    Notre équilibre budgétaire fus le second a faire défau , l’appel au crédit puis la dette croissante  en ont été une conséquence directe et nous a  permis de vivre artificiellement  une bonne trentaine d’années.

    Si cette rétrospective ne fait que nous remémorer une grande partie de notre parcourt, elle ne semble pas assez claire au yeux de bien des politiques qui pour clore définitivement cette marche forcé vers l’absurde  sont prêt a sacrifier ce qui reste de nos entreprises sur l'hôtel de leur idéologie.   

     

    Notre salut nous le devrons a la sagesse des Européens qui poussent nos élites sur  le chemin du raisonnement  et stimulent  définitivement  leurs devoir de réformes utiles pour tous.       


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