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STOP, DANGER, UTOPIE
oui c'est vrai l'opignion publique existe ,elle se manifeste largement dans les sondages .
Elle est fragile et variable comme l'aire de Paris au droit des périphériques,pollué les grandes soirées de retour de WE ,ou claire comme les nuits de pleine lune ,dans la forêt de Chaville.
L'intérêts d'un pays doit-ils fatalement être traduit,ou ressentie par son peuple, comme étant obligatoirement son intérêt immédiat ?
L'intérêt du peuple , même si on doit en tenir compte ,devient- il réellement le sien à long terme .Se précipite t-il pas trop rapidement dans ses analyses ,mélangées de sentiments personnel où strictement égoïste par nature , réflexe naturel du bien être individuel ,où par réaction de principe ,le rejet systématique des décisions du pouvoir en place .
À contrario par solidarité politique n'est t-il pas prêt à dire amen à toutes les décisions ,.
Avec du recul , certaines décisions prises a grand renfort de propagande dans « l’intérêt de son peuple » se sont retournés gravement contre lui, exemple ,les 39 heures ,les emplois jeune ,et la retraite à 60 ans etc ……
.En conclusion ,à l’échelon communale oui le peuple est compètent , après ça se complique et la représentation du peuple par des élus reste à tout les niveaux souhaitable . Laissons l’utopie aux vestiaires c’est pas le moment de jouer au sorcier !!!
Tags : interet, decisions, peuple, peuple , nature
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Commentaires
2foujuste
Jeudi 27 Octobre 2011 à 14:07
je veut parler de ces intellectuels très "illuminés" de gauche, qui prônent la démocratie populaire .
4bittonio 80Dimanche 30 Octobre 2011 à 00:39Mais vous délirez tous les 2. A vous lire on croirait que les gens sont tellement idiots qu'ils se laissent influencer par les sondages.Quand vous fustigez les intellectuels, vous sombrez dans le ridicule.Heureusement que les intellectuels réfléchissent, sans quoi, où en serait le Monde! Les peuples seraient gérés par des dictateurs qui seraient aidés par des "gros bras". Souvenez vous d'Hitler, de Mussolini, de Pinochet, de Franco, de Amin Dada, de Duvallier "Papa doc", de Staline, et des 3 plus récents. Les intellectuels de gauche ne favorisent pas leurs copains grâce à des salaires qui dépassent l'entendement et sont toujours prêts à dialoguer avec tous. Où est le dialogue avec Xavier Bertrand,avec Copé, avec Sarkozy? Leur argumentation tient en 6 mots : on ne peut pas faire autrement, avec une variante récente, c'est à cause de la crise, et la ritournelle habituelle, c'est la faute de nos prédécesseurs. Ils oublient tous les trois, que Jacques Chirac a été Président de la République de 1995 à 2007, et qu'ils furent ses ministres à diverses reprises.
bien sur, la gauche caviar n' existe pas, et quand elle était aux commandes, elle agissait comme la droite !
et surtout, elle distribuait l' argent pris aux classes moyennes à ceux qui ne travaillent pas, espèrant ainsi obtenir leurs voix !
Ouvre les yeux, et toi qui cite le passé, trouve moi un gouvernement de gauche qui réussit !
6foujuste
Dimanche 30 Octobre 2011 à 10:04
Désolé "bitonio" ,pour moi l'intellectuel n'est pas obligatoirement détenteur de la vérité , il est pas forcement exclu qu'il délire dans sa propre réflexion .iI est bon de ne pas prendre pour argent comptant la globalité de ses conclusions , il est trop souvent poussé malgré lui par son idéologie dominante , ce qui l'éloigne trop fréquemment de la réalité . Dans la période si mouvementé que l'on traverse ,les décisions et reformes à prendre doivent être plus pragmatistes qu'utopistes ,même si j'admet facilement que pour un intellectuel de gauche le pragmatisme est contraire à son idéologie, sa quête étant depuis la naissance du socialisme d'inventer en vain ,le partie le plus vendable ,apte à remplacer le capitalisme !!!
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le problème n' est 'il pas que le seul intérêt pris en compte par les politiques soit le leur, et celui des actionnaires dont ils font souvent partie ,
le peuple n' étant vu que comme une tirelire