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RIEN À CRAINDRE POUR LE SERVICE PUBLIC
Nous vivons en Europe, une Europe libérale, que certains aient la nostalgie du glorieux passé des nationalisations, des monopoles, qui engendrent des gestions coûteuses, payées par le contribuable, pourquoi pas, l'immobilisme reste dans certains esprits, heureusement de moins en moins nombreux. Vivre avec son temps, c'est pour les Européens l'avenir, la concurrence et l'innovation, contre l'immobilisme, c’est la base de notre réussite, même si cela bouscule quelques habitudes ancestrales, et force certains à insister sur certaine contre-vérités flagrantes du genre... la disparition des services public suite aux privatisations des entreprises d’états ;contre verité quant tu nous tiend ! Le service publique est dans tous les cas assurés par l’entreprise privé qui passe avec l’état des marchés assurant ainsi la pérennité du service c’est bien pour avancer que ces changements profonds pas toujours bien accepte par une partie de notre société mais indispensable à la création d'une Europe forte et unie, c’est la finalité de ces actions!
Tags : service, certains, europe, public, bien
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Commentaires
2RéflexionsJeudi 1er Octobre 2009 à 09:31Je pense comme trublion, et je me méfie aussi de cette Europe qui engrange des Pays et qui ne mesurent pas toujours les responsabilités que la multitude réclame.
D'autre part, les Pays qui ont eu la chance d'être libre, ne voient pas toujours à bon escient le devoir d'utliser des régles imposées non conforme à leurs anciens statuts (ex l'agriculture française verouillée par bruxelles, ou le lait commandité à divers pays reproducteurs de lait )Il y a un vieil adage qui dit : "quand on veut se débarrasser de son chien on dit qu'il a la gale"
c'est un peu ce qui arrive aux services publics victimes de la marchandisation de la société.
Pour se débarrasser d'un service public il faut :
1) démontrer qu'il coûte plus cher qu'un service privé
2) démontrer qu'il est moins performant qu'un service privé.
Pour cela il suffit de le priver des moyens fournis à la concurrence afin de le dévaloriser aux yeux des usagers et surtout de faire passer le message qu'un service public est un service comme un autre, qu'il doit générer des profits nécessairement alléchants pour les investisseurs afin de les retenir, et là nous sommes évidemment aux antipodes de la notion de service public dont le but est de servir l'intérêt général et de procéder à une sorte de redistribution en mettant un service payé en partie par les contribuables à la portée du plus grand nombre. Rappelons que les actions les plus néfastes pour la collectivité s'abritent souvent derrière un pragmatisme mâtiné de fatalité qui conduit ses victimes vers une résignation sans l'ombre d'un échappatoire.
Giher n'a pas tord , à part que le service public s'est lui même mis dans cette position , réclamant toujours plus , apportant toujours moins , et surtout , négligeant ceux dont il dépend !5palombia86Dimanche 4 Octobre 2009 à 11:43La privatisation est signe de concurence lié à la rentabilité, ma foi si certains sont assez cons de boucher les trous via leurs impôts ! Que veux-tu leur dire, bon WE7LONDELundi 5 Octobre 2009 à 17:43Est ce que le progrès justifie la déshumanisation l' exploitation ? Bonne soirée foujuste !!!!
la déshumanisation l'exploitation sont des mots, serte forts et impressionnants ,surtout si on les emplois à mauvais escient , dans la cas présent on pourrait employer , partage plus juste des taches, et égalité du citoyen devant le travail.9traumatismeMardi 6 Octobre 2009 à 09:00L'IRLANDE a dit "OUI" au traité de Lisbonne A l'Europe du fric....et de la folie des marchés financiers spéculateurs A la concurrence non faussée dirigée par les oligopoles mondiaux A la semaine de travail limitée à 65 Heures..'une des avançée sociale majeure..." Au démantellement de notre agriculture au profit des grands marchands mondiaux qui savent organiser le marché à leur profit. A la libéralisation des jeux d'argent au bénéfice des mafias internationales Au président BARROSO qui a su démontrer, lors de son précédent mandat, son inertie et son incapacité à dessiner les contours d'une position Européenne commune sur des sujets aussi importants que la crise économique ou l'environnement..... L'Histoire jugera....mais le combat continue pour une Europe des peuples et du progrès social dans une économie libérée des diktats du libéralisme.J'apprécie toujours l'angélisme avec lequel notre ami Foujuste nous parle de l'Europe ou du gouvernement SARKOZIEN. Est-ce une preuve de jeunesse que cette naïveté affichée ? Certainement quelques souvenirs de l'enfant de choeur qu'il était et qui gobait tous les sermons du prêtre de la paroisse. A aucun moment le doute, celui qui doit traverser l'esprit de l'homme libre, contre toutes les dictatures de la pensée unique. Non il chemine dans ce chemin tout tracé, comme l'ouaille religieuse, espérant de la sorte le repos éternel.
11barovinMardi 6 Octobre 2009 à 11:13Quand tu parles d'Europe forte et unie....çà me fait vraiment peur et je souhaiterais décrypter le fond de ta pensée..J epoerai une seule question : Pourquoi Faire ..?L'IRLANDE a dit oui a l'Europe , et j'en suis fort aise ,après chacun est libre d'interpréter cet acte comme il l'entend suivant ses idées politiques, et ses utopies à la Besancenot ou consort , néanmoins cette Europe c'est un espace de liberté ou le libéralisme et la justice vont de paire , souhaitons que malgré les quelques récalcitrant d'un autre âge, elle le reste.
c'est vrai barovin, je peut admettre que ma naïveté tranche sur tes certitudes ,et ton assurance de détenir la solution aux problèmes que rencontre le monde entier, même si tu fait de sur -place avec tes idées pres-machées par nos ancêtres, le monde heureusement évolue ,pas comme tu le rêve mais comme il le doit à toit d'admettre qui certaines utopies sont a mettre au placard !!face aux grandes puissances ,l'Europe désunie est faible et pas respecté ,unie elle parle d'une seul voix donc plus forte15GIHERMercredi 7 Octobre 2009 à 08:19Formidable cette phrase : "le monde évolue , pas comme tu le rêves mais comme il le doit". Donc s'il le doit c'est qu'il évolue bien, comme tu le souhaites toi-même. Il n'y aurait qu'une seule voie finalement, celle que le monde a choisi pour évoluer. pas la peine de se casser la tête, y'as qu'à laisser rouler.
lly a chez toi quelque chose d'un peu agaçant c'est que tout ce qui n'est pas tes idées sont des utopies.
mais sans les utopies on ne réussirait pas de grandes choses, à moins que tu ne sois que le partisan des "petites choses" . Sans utopie pas de premier avion qui décolle, pas de Tour Eiffel, pas de sécurité sociale, pas de congés payés pour "les salopards en casquette". Les utopies le sont jusqu'elles se qu'elles passent dans la réalité,jusqu'à ce qu'elles deviennent des réalités admises par les "pragmatiques" comme toi. Mais il ne faut pas compter sur eux pour faire le boulot du commencement. les utpoistes ont des aspirations trop vastes pour un monde trop étriqué comme pourrait dire frédéric Mitterrand16GIHERMercredi 7 Octobre 2009 à 08:28j'ajouterai que les pères fondateurs de l'Europe (Robert Schumann, Paul-Henri Spaak, Alcide de Gasperi, Jean Monnet) étaient au bout du compte des utopistes ( même de Gaulle ne croyait pas trop à "ce machin" )Mais je doute fort qu'ils seraient satisfaist de ce qu'on à fait de cette Europe "rêvée" qui est devenue l'Europe "pragmatique" du pognon
17GIHERMercredi 7 Octobre 2009 à 08:34Finalement tu martèles à longueur de blog que ton vieux conservatisme c'est l'avenir, qu'il est moderne et que les idées progressistes sont ringardes et que la vraie gauche est...à droite C'est ce que n'arrêtent pas de dire tes bons maîtres Sarkozy et Fillon
Une utopie est en principe une idée séduisante à entendre, mais qui ne peut aboutir. j'aurai préféré comme exemple ,le partage des richesse, l'abolition du patronat, ou les 35 heures pour tous, des thèmes chers au utopistes .Les pays émergeants qui font le monde de demain évoluent pas selon les rêves de ces utopistes, mais comme il le doivent, contre nature certes, prenons la chine ,une dictature communiste, avec les plus gros capitalistes .les chinois s'adaptent par force à cette situation ,l'inde a une autre formule qui y ressemble , l'Afrique également a sa spécificité, chaques parties du monde évolue comme elle le doit mais pas suivant le rêve de nos vaillants utopistes qui ont beaucoup de mal a mesuré l’impacte de leurs idées sur ces mastodontes, qui je suis sur évoluerons par pragmatisme, et certainement pas par utopie l,a gauche qui refuse toutes reformes( tu devrais lui réserver ce titre de conservateur) ,moi le serais plus pour reformer un système qui date de quarante ans. Les fondateurs de l’Europe ,ces grands hommes, doivent pas être trés fière des réactions des conservateurs qui n’ont rien compris à l’Europe et qui refusent ce beau et grand projet sortant a chaque occasion de sombres prétextes anticapitalistes éliminant d’un trait les banques les sociétés et les riches (utopie quant tu nous tient )
On aimerait bien entendre "lez futur dernier des SARKOZYSTES" sur la nomination d'un jeune de 23 ans, sans expérience pour gérer le pôle de la Défense..Rien à craindre pour la démocratie et l'efficacité....Malheureusement Foujuste avec toi, dialogue de sourds assuré. Tu ne réponds jamais aux argumentations tu les contournes. Je te rappelle tout de même qu'il y a les utopies et ce qui est considéré comme tel. Nuances. D'autre part les 35 heures ont été longtemps une réalité jusqu'à ce que les novateurs comme toi, les tenant de cette ineptie qu'on appelle le "travailler plus pour gagner plus" s'acharnent sur ellesFoujuste, on est bien obligé de rêver à la grandeur de la République Française, vu que nous vivons dans une république bananière où le népotisme et la médiocrité sont les marques de fabrique d'un gouvernement dit de "rupture". avec les préceptes Républicains. Il faut se débarrasser de cette ploutocratie dont la fatuité n'a d'égale que la vacuité de leurs idées.Vive la France de Jaurès, Victor hugo, Diderot , Rousseau, Voltaire....contre la france de SARKOZY, DOUILLET, STEEVIE, LEFEBVRE.....et CONsortsPour le coup..les grands hommes dont tu parles étaient heureusement des utopistes à une époque où l'Europe sortait d'une guerre dévastatrice et entrait dans ce qu'on a appelé "guerre froide". Il fallait bien l'être utopiste pour croire à cela. Le seul problème, c'est que le projet initial, basé sur des accords bilatéraux (ou multi..) de coopération, a été dévoyé par la prédominance d'une Europe des marchés financiers sur une Europe des peuples et de grands projets industriels fédérateurs.
En tout cas, je souhaite une seule chose : j'espère que tu ne crois pas en dieu (je ne parle pas de SARKOZY.....rires...), car la religion et sa mythologie ""de la vie éternellede l'esprit est certainement la plus grande utopie inventée par l'homme....et celle-là je te l'accorde ne pourra jamais aboutir.
Quant au 35 heures, c'est complètement dépassé....les technologies du futur permettront que , tu le veuilles ou non avec tes amis, des semaines de travail beaucoup moins longue. C'est une constante de l'histoire humaine que de dégager l'humain de contraintes et le travail est une (voire etymologie du mot /
Le « travail » semble être une machine pour ferrer les chevaux …racine latine pop « tripaliâre « qui signifiait torturer avec le trepalium = instrument de torture ….)
Et c'est un fils et petit fils de Corse qui te le confirme.
Et bien, je me suis régalée à tout lire, heureusement que les blogueurs ne sont pas face à face, cela pourrait tourner mal ! (rire). Chacun croyant détenir la vérité, cela devient amusant même s'il faudrait mieux pleurer de voir ce qu'est devenue la France !
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je me dis que le service public , a tant abusé de ses avantages , et peu repecté le public , par ses grèves répétitives , qu'il a donné l'idée d'y remédier !
bonne journée