• PAS DE COMMANDE PAS D'USINE

    PAS DE COMMANDE PAS D'USINE

    Dans l’affaire Alstom nous assistons à un remake de Gandrange-Rombas avec une conclusion identique à terme , la fermeture pur et simple du site de l’entreprise comme la direction le prévois dans  une logique industrielle implacable , “plus de commandes plus d’usine ” !! oui les palabres si fines, si politiquement correctes, si syndicalement humaines soit-elles n'empêcherons jamais cette réalité ,”plus de commandes plus d’industrie” un concept qui contraste avec la logique habituelle des entreprises public et qui fosse defacto bien des raisonnement ancrés dans l’esprit de bien des gens . notre tissus industriel depuis des décennies se réduit sournoisement , l’effets de ce phénomène  que représente aux yeux du citoyens lambda ,la  courbe du chômage inquiète sérieusement la population et par voix de conséquence les politiques toujours prompte a prendre a leur compte la misère des peuples , mais la disparition de nos  industries est perçu comme une fatalité , les tête de turc responsables de ce désastre, on les connais, l’Europe , l’euro,la mondialisation, les patrons, les banques, la droite la gauche et bien d’autre mais que diable pas nous !! mais attention les mouches on changé d'âne (comme disait un grand reporteur sportif Albaladejo ! ce qui devrais nous inciter a réfléchir a notre avenir et a celui de nos enfants l ‘industries dans un pays  est un gage de richesse pour tous, la compétitivité est une assurance vie de l’emplois , l’emplois est le ciment  de la liberté le chômage est le chemin de l'aliénation .   

     


  • Commentaires

    1
    Mercredi 14 Septembre 2016 à 08:41

    C' est l' Europe qui oblige à des appels d' offres, et donc nos politiques sont bloqués, et Siemens l' emportera toujours sur Alstom

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    2
    Mercredi 14 Septembre 2016 à 17:19

    L'appel d'offre en soi, ça n'est pas un problème  pour les entreprises , notre problème à nous Français  c'est notre compétitivité,  pour décrocher des marché il  faut fabriquer des produits compétitifs,   si l’on compare les charges des entreprises  avec nos voisins  on est de très loin le pays le plus gourmand en charges de toutes natures, et le plus triste , rien ne nous dit que la tendance ira pas en s'aggravent  les promesses électorales  aboutissent  le plus souvent  a une augmentation des charges ou tout autre ponction sur les entreprises. 

     

    3
    Jeudi 15 Septembre 2016 à 08:23

    par rapport à l' Allemagne pour qui l' euro est plus intéressant, nous avons peu de chance, et à cela se rajoute notre heure de travail obérée par les  35 heures, et comme tu dis, toutes nos taxes

    4
    Jeudi 15 Septembre 2016 à 15:32

    Le front populaire a laisser dans notre pays une emprunte négative  profonde sur la réputation de notre industrie et de ses capitaines qui la dirigent,  l’usine a été un lieux permanent de conflits et de lutes . Seule chez nous le robot amènera maintenant de la sérénité dans les ateliers, le cercle des dirigeants syndicaux des travailleurs  se démène dans son bocal comme des poissons rouges , mais les grosses industries a l'ancienne ne survivrons pas dans notre pays  la concurrence a été le coup de grâce après le sabordage conscient de la gauche qui se bat contre le  capitalisme depuis des lustres pour  en obtenir le maximum d’avantages, les limites acceptable sont atteinte depuis bien longtemps, le chômage de masse qui mine notre économie  est la preuve de l’aboutissement d’une idéologie obsolète et rétrograde  . Il reste en Europe pas mâle de pays ou la relation citoyenne avec le milieux industrielle reste  acceptable nous pouvons en tirer certains avantages si nous jouons a fond la carte de l’Europe.   

     

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