Apres  la guerre froide et les trente glorieuses :pourquoi pas parler de la mondialisation et de ses conséquences irréversibles ,mais prévisibles,agissant insidieusement et directement sur la fragilité de l’équilibres économiques dans les pays les plus avancés de notre continent ,ce cataclysme aurait due inciter nos gouvernements à bouleverser un tantinet notre modèle de vie ,fin du vingt èm siècle ,mais pour y faire face (dans” l'intérêt” des peuples ,)et par réaction idéologique, une solution indolore a été choisie, l’endettement.Depuis trente ans nous vivons à crédit ,et oui ,bien sure , pourquoi prendre des mesures qui serons obligatoirement impopulaires, alors  pour combattre cette triste situation ,nous somme sous perfusion indolore depuis trente ans.

Maintenant la finance est devenue grâce à notre irresponsabilité idéologique un acteur incontournable , dans la gestion de la crise de la dette , la facilité instinctive et notre désarroi  nous pousse naturellement à comparer ces professions à des escrocs  notoires, pourquoi pas ,ils ne sont pas forcement  des modèles de vertu !,à part ce plaisir partisans bien établis depuis des siècles contre la finance  ,cela nous mène où ,pas très très loin dans le cas précis qui nous intéresse ?, une prise de conscience Européenne majoritaire semble ressortir après moult hésitations, se sortir de cette spirale de la dette et de ses intérêts exorbitants qu’elle produit devient une priorité,(après trente ans de retard )l’addition est lourde !.Bien entendu quant on parle de majorité ,on à le devoir de respecter ces “groupuscules” qui  pour des raisons extrêmement divergentes y trouve un intérêt quelconque, bien claire pour les uns un refus catégorique de l’Europe ,pour les autres moins claire, l'idée d’une Europe des bisounours, ou une utopie équivalente .

Comment faire comprendre a ces rêveurs à l’imagination galopante,qu’avant de faire des plans sur la commette ,et d’imaginer la couleur des fleures du papier peint des murs du salon de leur future maison européenne ,il faut déjà  construire les murs  ,et que pour ce travail tout le monde doit y participer ,pour que cette maxime “armons nous et partez” ne soit pas encore le refrain préféré des gagnants de cette phase historique,envers ces récalcitrants bien pensants !