-
BALISONS L'ISSUE ACCEPTABLE DE LA CRISE
Juguler la crise et réduire la dette, est le challenge crucial et incontournable pour les pays développés , en particulier pour l’Europe.
Doit-on attendre l’homme providentiel qui contre toute attente détiendrait le remède miracle ?
Ou doit-on enfin accepter l’idée que ces graves problèmes ne se traiteront que par des accords historiques sans précédents à l’échelon Européen ?
En ces moments extrêmes les peuples Européens sont-ils prêt à perdre une partie de leur souveraineté au profit de l’intérêt général ?
Qui aura le courage d’annoncer la couleur
En période électorale oui,il est de bonne guerre de ne pas froisser son électorat , mais pour enrayer cette « pandémie » qui se développe à vitesse grand V ,le risque de perdre une élection n’est –il pas dérisoire à comparer a la grandeur de cet acte de courage . ?
Enfin le peuple n’est-il pas ,globalement ,assez adulte pour comprendre et accepter la situation ?
Tags : perdre, n’est, peuple, courage, developpe
-
Commentaires
La seule promesse qui me tient à coeur c'est celle d'une Europe qui se développe dans l'intérêt de tous ses citoyens, unie, et parlant d'une seule voie ce qui revient à dire que nous devons retrousser nos manches et compter que sur nous même .La solution qui consiste à se recroqueviller sur soi-même reflète un esprit d'indépendance complètement irréaliste dans le cadre mondial actuel et un suicide annoncé pour notre pays à court terme.!!!
Décidemment cet homme a de la suite dans les idées....
Comme dirait Foujuste...la société moderne...??
6pol tamarysSamedi 12 Novembre 2011 à 12:51Juguler la crise ne doit pas avoir comme conséquence première d'assassiner les Peuples!
Cela commence par réguler un système qui ne l'est plus, reprendre en main un système financier qui ne sert qu'une minorité, en spéculant au lieu d'apporter son aide aux pmi/pme ainsi qu'aux particuliers, et qui se retourne vers l'Etat quand la faillite pointe son nez!
Donner enfin et une bonne fois pour toutes à l'Europe une harmonisation dans sa politique sociale et fiscale ( en commencant par un noyau dur des pays fondateurs) lui permettre d'emprunter à taux bas afin d'aider les pays en difficulté à remonter la pente et non de les assassiner avec des taux d'intérêts voyous
9trublionSamedi 19 Novembre 2011 à 10:19
Ajouter un commentaire
Aucune des promesses faites, pour nous inciter à voter oui à Maastrich, n' a été tenue !
Alors, aujourd' hui que nous sommes en crise, ça ne va certes pas s' arranger !
Nous avons joué à la grenouille qui voulait grossir comme le boeuf, et je reste persuadé qu' à 27, ou même 17, rien n' est possible .