• C'EST PAS MOI ,C'EST TOTO !!

    L’état dépense plus qu’il ne gagne, et l’état c’est nous,   je suppute que c’est maintenant admis dans l’esprit de nos citoyens, si l’on soustrait la bande de récalcitrants extrémistes de tous poiles qui croient qu’en leur chapelle.

    Bonne nouvelle Bruxelles qui nous ressasse ce refrain depuis des lustres, Bruxelles a finit par convaincre nos élites, qui conservaient comme un pouvoir suprême le droit d’emprunter sur les marchés les centaines de milliard qui nous manquaient chaque années pour payer nos retraites et nos fonctionnaires, sans imaginer un instant qu’il fallait un jour stopper cette facilité mortifier, et rembourser les emprunts et les intérêts 

    Fort de ce constat, il nous faut maintenant faire des économies, trancher dans nos dépenses, et la, le bas blesse, notre réflex à tous (hérité de l’école maternelle) ressort naturellement, “c’est pas moi c’est toto qui qui cassé le carreaux ,!! “les militaires, nos élus, nos ministères, toutes les structures vivants sous le régime de la manne nationale se mobilisent , ils se révoltent et nomment le responsable de cette catastrophe annoncé, l’état, mais  pourquoi nous? et pourquoi pas eux ? le peuple est appeler à la rescousse “citoyens  nous n’avons plus assez  d’argent pour, ici nos communes, là, notre justice, là bas, nos hôpitaux ,ou nos prisons , mais je m’arrête là, la liste est trop longue, notre pays vas à la ruine,  citoyens mobilisons nous !!

    Quand on analyse quelque peut ce phénomène, et si en parallèle on place les mille milliards de dette que l’on traine comme un fardeau, dette qui peut  produire des intérêts non maitrisés, le Français a le devoir de se poser la question avant de suivre ses élus qui le poussent a se mobiliser, quel choix doit-il opérer ou non dans sa vie courante,? celui de refuser les réductions des subventions divers et variés qui permettent a ses élus ou aux divers services de l’état de lui procurer son bien-être habituel, ce qui signifie le statu quo général, ou bien  doit-il se préparer a quelque changements désagréables ( mais pas mortels) dans sa vie courante, ou bien doit-il exiger l’application d’une solution intermédiaire  avant de refuser ou non  catégoriquement une solution ou une autre. la mutualisation des moyens, l’élimination  des doublons,il y a-t-il pas encore trop de  favoritisme a tous les niveau a t-on dans l’esprit le reflex de choisir l’indispensable et rejeter le superflu, en conclusion, a t-on admis définitivement que nous n’avons plus les moyens dans nos choix a tous les niveaux.? 

     

    Ces trente années de décalage  de lucidité générale de notre pays, nous les payons maintenant, mais le montant de la  facture, seule le citoyen en mesurera le poids, il arrive a la caisse, son caddie est plein de mauvaises habitudes, les 35 heures, la retraite à 60 ans, le code du travail, la protection sociale, les impôts, alourdissent le développement de l’emploi dans notre pays, il ne s’agit plus de faire appel a la rue comme toujours pour obtenir un blanc seing, et se dédouaner de ses responsabilités, il s’agit maintenant d’expliquer l’énormité de la facture.


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  • Les sciences de l’environnement doivent prendre une part prépondérante  dans notre culture, elle ne doit pas être l’apanage d’un clan comme c’est la réalité actuellement, tronqué par je ne sait quelle idéologie, entrer dans notre  culture dans un mouvement universelle , sur les milliards de milliards de planètes dans l’univers il y a une chance que notre terre soit la seul habité,est-il utile de rappeler que  la protection de ce joyaux est une responsabilité suprême pour l'être humain !!

    On ne peut plus se contenter de l’explication qui  se borne a accuser les méchants capitalistes qui un grand couteau de cuisine a la main nous menaceraient de consommer les produits inutiles:qu’ils inventent pour s’enrichir !! avec un discourt comme ça on peut comprendre pourquoi le gaspillage a bien du mal a reculer (c’est pas nous c’est eux ) alors  supprimons le capitalisme et le gaspillage disparaitra.

    Souvenons nous il y a deux siècles la grosseur du tas de fumier était synonyme de richesse dans nos campagnes,nos déchets servaient a fertiliser nos cultures, non avec la misère le gaspillage ne se mariais pas du tout ! 

    Mais en deux siècles le monde a changé, l’hygiène nous recommande de protéger nos aliments, les inventions comme la matière plastic , et bien d’autre, ont facilités notre quotidien,  la technique avance indubitablement,  avec elle la mode, l’émancipation de l’être humain par l’éducation lui ouvre toutes les portes de la modernité, pourquoi s’en priverait-il ?

     

    A la connaissance et pratique des règles de la politesse, des usages du monde rajoutons simplement le respect de notre environnement , et surtout , enseignons sérieusement ces règles fondamentales a nos enfants !.


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